Que deviennent nos déchets électroniques ? Où finissent-ils et dans quel état ? Quels sont leurs différents impacts ? Ce sont autant de questions auxquelles nous souhaitons répondre avec ce dossier documentaire complet sur les Déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE).
Déchets électroniques, DEEE : Déchets d'équipements électriques et électroniques, Développement durable, Environnement, Ecologie, Impact, Obsolescence programmée, Recyclage, Terres rares, TIC : Technologies de l'information et de la communication, Traitement
Plan
Introduction
Ce dossier documentaire vise à informer le lecteur sur l’envers du décor des appareils électroniques et électroménagers du quotidien et de lui donner les clés pour une utilisation plus consciente des impacts de ces équipements.
I - Qu'est-ce que les DEEE ?
Nous allons nous appuyer sur un rapport sur les déchets électriques et électroniques de 2019 provenant de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), un mémoire de Master de Alice FRANTZ SCHNEIDER, un article du groupe GDS EcoInfo soutenu par le CNRS et un article du site les.cahiers-developpement-durable.be.
A. Définition
D’après l’article de GDS EcoInfo, les DEEE sont des Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques, issus des équipements fonctionnant grâce à un courant électrique ou à un champ électromagnétique. On entend par DEEE, tous les composants, sous-ensembles, et produits consommables faisant partie intégrante du produit au moment où le consommateur le jette. La classification des DEEE se fait en fonction de trois critères :
- Son origine : le devenir des DEEE des professionnels relève de la responsabilité du détenteur alors que pour les DEEE ménager, la responsabilité est partagée entre les fabricants, les distributeurs et les collectivités locales.
- Sa composition : notamment en fonction de la présence d’éléments polluants et de la part des fractions métalliques. Tout DEEE contenant un composant dangereux (exemples : PCB, HFC, HCFC, amiante…) est un déchet dangereux.
- Son encombrement : on distingue en général les produits portables (< 30 kg) des produits non portables (> 30 kg), car les modalités de collecte sont différentes.
B. Les différentes catégories de DEEE
Le rapport de l'ADEME, présentant la situation de la filière Déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) en France en 2019, nous informe que les EEE, qu’ils soient ménagers ou professionnels, doivent être classés dans des catégories définies par la Directive européenne DEEE et transposée en France par le décret 2014-928. Le 15 août 2018, intervient la directive DEEE II. Jusqu’à cette date seuls les EEE qui rentraient dans la définition d’un EEE et appartenant à une des 11 catégories listées dans l’annexe 1 de la directive étaient concernés par celle-ci. Dorénavant, la logique est inversée et tous les EEE sont concernés sauf ceux explicitement exclus par la directive.

Les EEE sont classés dans 7 nouvelles catégories à compter du 15 août 2018 (voir tableau cidessus), dont deux sont dites ouvertes puisqu’elles permettent d’intégrer les EEE qui n’entreraient pas dans les catégories plus spécifiques : gros équipements et petits équipements. Un critère de dimension a été intégré dans la directive DEEE II afin de distinguer ces deux catégories : les gros équipements sont ceux dont l’une des dimensions extérieures est supérieure à 50 cm, et les petits sont ceux dont toutes les dimensions extérieures sont inférieures à 50 cm.
C. Le cyle de vie d'un EEE
Le mémoire de Master de FRANTZ SCHNEIDER Alice explique que les progrès technologiques ont fait croître rapidement la consommation d'électronique. En conséquence, le cycle de vie de ces produits a diminué dans la même proportion et représente aujourd'hui une tendance mondiale. Des produits qui duraient longtemps et qui étaient à peine éliminés sont maintenant renouvelés dans un délai très court. L’article du site Les cahiers du développement durable explique qu’un produit naît, vit et meurt. La naissance équivaut à la phase de production qui inclut l’extraction, la transformation et le transport des matières premières nécessaires à sa fabrication et sa distribution. La vie est la phase où le produit sert un utilisateur. Enfin, la mort est la phase après l’utilisation du produit où il peut être valorisé ou éliminé. C’est à cette dernière étape que l’EEE devient DEEE.
À chaque étape de son cycle de vie, le produit consomme de l’énergie et des ressources naturelles ce qui a des impacts écologiques et sanitaires.
Les DEEE sont des déchets d’équipements électriques et électroniques. Leur gestion est rendue possible par des directives de l’Union Européenne ainsi que de décrets en France. De plus, la durée de vie d’un équipement électrique et électronique diminue de plus en plus alors que l’énergie et les ressources naturelles nécessaires à leur fabrication restent les mêmes. Ces nouveaux cycles de vie plus courts qu’auparavant engendrent donc une augmentation globale de la consommation d'énergie et de ressources naturelles et ont un impact de plus en plus important d’un point de vue environnemental et sanitaire.
II - Les impact des DEEE
Avant d’aborder les solutions possibles aux problèmes posés par les Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques (DEEE), il convient d’énumérer leurs impacts sur les êtres humains et sur l’environnement, en particulier dans les pays du Sud. Nous allons ici nous appuyer très largement sur les écrits de Claire BERNARD sur les conséquences du commerce de DEEE des pays du Nord vers le Sud mais également sur l’intégralité des documents cités ci-dessus.
A. Le commerce des DEEE
Tout d’abord, il est important d’étudier le parcours des DEEE et le commerce qui en découle. Ainsi, d’après les recherches de Claire BERNARD, une partie des DEEE produits par les pays du Nord est traitée sur place tandis qu’une autre partie est exportée, généralement en direction des pays du Sud comme le Ghana, la Chine ou encore l’Inde. Bien qu’il existe certaines conventions internationales comme la Convention de Bâle qui limitent ou interdisent même l’export l’échange de et déchets contenant des substances toxiques vers les pays en cours de développement, la plupart des DEEE sont exportés sous couvert que ces équipements seront réparés pour ensuite se retrouver sur le marché de seconde main, faisant ainsi en sorte que ces exports de DEEE ne soient pas considérés comme des exports de déchets dangereux.
Bien qu’une partie des DEEE arrivant dans ces pays en voie de développement soient bel et bien réparés puis réutilisés par les populations locales ou réexportés vers les pays du Nord, une très grande partie d’entre eux finissent dans des décharges et/ou sont revendus par des grossistes à des « démonteurs ». Ces derniers se chargeront ensuite d’extraire les composants intéressants et les métaux rares des DEEE puis les revendront illégalement aux industries locales pour les réinjecter dans le cycle de production.
B. L’impact sanitaire
Les principaux dangers des DEEE proviennent de certains matériaux et éléments présents dans ces équipements électroniques qui, sans un traitement rigoureux, peuvent s’avérer toxiques à la fois pour les personnes les manipulant mais également pour toutes les populations vivant aux alentours des décharges et points de traitement. Ainsi, d’après les écrits de Claire BERNARD et du groupe GDS EcoInfo, on trouve dans les DEEE un assortiment de métaux lourds comme le plomb, du mercure, différents types de plastiques, du cadmium, du chrome hexavalent, du brome, etc… Cette liste est loin d’être exhaustive et il est reconnu que la plupart de ces matériaux peuvent causer un empoisonnement progressif de l’organisme s’ils ne sont pas traités avec précaution et avec un équipement adapté.
Or c’est là le principal problème des DEEE : la plupart des travailleurs prenant en charge ces déchets dans les pays du Sud ne sont ni équipés, ni formés pour prendre en charge le traitement de ces matériaux. Les méthodes de travail sont peu sûres (mains nues, aucun masque, locaux mal aérés) et les travailleurs ne sont généralement pas informés sur la dangerosité des éléments présents dans les DEEE. Une exposition directe à ces derniers peut mener à un empoisonnement qui peut se montrer fatal ou en tout cas faciliter la contraction de maladies graves, notamment au niveau pulmonaire, des années après exposition.
Cette intoxication ne se limite malheureusement pas aux travailleurs eux-mêmes étant donné que ces déchets sont souvent stockés dans des décharges municipales à ciel ouvert, puis sont ensuite traités dans des ateliers sans filtration dont les fumées produites par la combustion de certains éléments inintéressants comme le PVC. Les fumées ainsi rejetées par ces ateliers sont toxiques et se répandent tandis que le stockage en plein air des DEEE peut provoquer le dépôt de métaux lourds et d’autres substances dans les sols. Tout cela pose un réel problème de santé pour les populations locales qui vivent aux alentours de ces ateliers et de ces décharges qui s’exposent aux mêmes risques que les travailleurs eux-mêmes, même sans contact direct avec les DEEE.
C. L’impact écologique
L’impact des DEEE ne s’arrête malheureusement pas à la santé des populations locales. Tout d’abord, d’après le compte-rendu de Charlotte ULLMANN traitant de l’écologie des infrastructures numériques, 5% des nuisances écologiques produites par un téléphone portable proviennent des différentes étapes de son transport, y compris en fin de vie. Ainsi, le transport des DEEE joue un rôle dans l’impact écologique total de tous les équipements électroniques.
De plus, les procédés de traitement rudimentaires et non contrôlés des DEEE dans les pays en voie de développement posent un danger majeur aux écosystèmes. En effet, les différents rejets (fumées, poussières, métaux lourds, …) issus des ateliers de traitement sont non seulement toxiques pour les populations locales mais également pour l’environnement. Par exemple, la combustion du PVC libère une fumée chargée en éléments toxiques mais également en CO2, un gaz reconnu comme favorisant l’effet de serre. Le rejet de métaux lourds pollue également les sols, pouvant ainsi causer l’intoxication des nappes phréatiques.
Les impacts des DEEE sont nombreux, à la fois sur les populations humaines mais également sur les écosystèmes. C’est pourquoi il est impératif de contrôler leur circulation et de privilégier un traitement réduisant leurs impacts et favorisant la réutilisation de certains matériaux et composants rares. Le traitement de déchets dangereux comme les DEEE devrait se faire localement et dans les meilleures conditions.
III - Comment résoudre les problèmes des DEEE ?
A. L'analyse du cylcle de vie
Analyser le cycle de vie (ACV) d’un produit ou d’un service, permet de se rendre compte de la pression qu’il exerce sur les ressources et l’environnement. Cela permet ensuite d’étudier les alternatives et d'essayer de réduire cette pression.
D’après l’ouvrage « Les impacts écologiques des Technologies de l’Information et de la Communication » du groupe EcoInfo, a notion d’ACV fait son apparition à partir de 1992. En 1994, une première norme AFNOR est publiée en France et en 1997, la série 14 040 des normes internationales ISO défini le cadre méthodologique et déontologique d’une ACV. Auparavant, des bilans énergétiques ou écobilans étaient réalisés auprès d’entreprises. Les bilans énergétiques servaient principalement à augmenter la compétitivité et les écobilans entraînait souvent un transfert d’impact. Par exemple, utiliser de nouveaux matériaux pour réduire les consommations énergétiques se traduit parfois par une impossibilité de recycler le produit en fin de vie ou par une augmentation de la toxicité de celui-ci.
L’on distingue deux grandes catégories d’ACV : celles à l’origine du secteur privé et celles à l’origine du secteur public.
Pour le secteur privé, il existe deux usages :
- L'usage internet, qui permet par exemple :
- L'amélioration de la connaissance du produit
- L'orientation des choix de conception
- La réduction des impacts environnementaux
- L'usage externe, qui permet par exemple :
- La recherche d'avantages concurrentiels
- L'aide à la décision entre les différents acteurs impliqués dans la conception du produit
- L'alimentation du processus d'éco labellisation
Pour le secteur public, l'ACV permet :
- La détermination d’une politique environnementale
- L’aide à la décision réglementaire
- L’éducation du public
L’ACV comporte quatre grandes phases : une phase d’orientation, une phase d’Inventaire du Cycle de Vie (ICV), une phase d’évaluation des impacts environnementaux, et une phase d’interprétation. Ces quatre phases sont décrites dans la norme ISO citées précédemment est sont obligatoires.

Enfin, une cinquième phase, en dehors des normes, peut s’ajouter à la réalisation de l’ACV. Elle concerne l’application des résultats de l’étude. Les domaines de cette phase de l’ACV concernent notamment l’éco-conception.
B. Le recyclage et l'éco-conception
Le recyclage et l’éco-conception sont aujourd’hui considérés comme des solutions phares pour régler (ou en tout cas alléger) les problèmes des DEEE. En effet, comme nous avons pu le voir précédemment, un DEEE peut être recyclé. Cela peut passer par une réparation de l’appareil électronique en question comme le montre l’article de Callén BLANCA. Cette approche permet de limiter les déchets et de réutiliser des appareils encore fonctionnels ou semi-fonctionnels du moment que la plupart des composants ne sont pas trop endommagés.
En revanche, si un appareil n’est plus récupérable et/ou si le coût de réparation est trop élevé, l’appareil peut être recyclé. Ce recyclage consiste à séparer et à récupérer certains composants/matériaux contenus dans les DEEE pour ensuite pouvoir les réinjecter dans le cycle de production ou encore les traiter de manière qu’ils ne soient plus dangereux pour la santé ou l’environnement. Néanmoins, nous avons vus auparavant que ce traitement doit se faire dans le respect de certaines règles et avec une précaution toute particulière. Ce recyclage peut s’avérer couteux, en particulier pour les collectivités locales mais s’avère être une solution très efficace au traitement et à la revalorisation des DEEE.
Une autre manière de réduire l’impact des DEEE est l’éco-conception. Ainsi d’après GDS EcoInfo, l’ADEME définis l’éco-conception comme un moyen de « réduire les impacts négatifs d’un produit, service ou bâtiment sur l’environnement sur l’ensemble de son cycle de vie (ACV), tout en conservant ses qualités d’usage ». On peut définir deux types d’écoconception : l’éco-conception matérielle et l’éco-conception logicielle. L’article avertit néanmoins qu’il est dur de compartimenter l’éco-conception de la sorte mais que cela reste usuel de la séparer en deux catégories distinctes. Concrètement, l’éco-conception regroupe toutes les techniques utilisées pour réduire l’impact des appareils électroniques, du stage de développement à celui de déchet. Cela passe par l’aspect technique et matérielle (conception permettant des réparations simplifiées, éléments facilement recyclables ou encore une utilisation moindre de substances dangereuses, etc.) mais également par l’aspect logiciel (meilleure gestion de l’énergie, optimisation des applications pour réduire le dégagement de chaleur, etc.).
Conclusion
La gestion des DEEE fait aujourd’hui partie des problématiques majeures du siècle. La production d’appareils électroniques ne cesse de croitre, entrainant avec elle une démultiplication toute aussi drastique de la production de DEEE. Les impacts de ces déchets dangereux sont nombreux et beaucoup de pays se montrent négligeant et exportent leurs DEEE à l’étranger où ils seront traités de manière sommaire ou tout simplement entreposés à l’air libre. Des pistes vers des solutions durables sont pourtant déjà disponibles et peuvent être appliquées concrètement dès maintenant, et ce depuis de nombreuses années.
Néanmoins, ces pistes ne sont pas des solutions magiques à la problématique des DEEE. Il est nécessaire de les appliquer tout en sensibilisant les populations à une consommation plus responsable et en forçant les industriels à avoir une approche plus responsable par le biais de lois et de règles universelles s’appliquant à l’intégralité des acteurs du marché des industries technologiques. Il est important de ne pas fermer les yeux face à ces problématiques et de les traiter avec sérieux et humanité, sans quoi nous ne pourrons pas freiner à temps avant de nous prendre le mur.
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